Après 24 heures passées à arpenter les rues de Barcelone, quelles sont les premières impressions qui ressortent ? D’abord, le plus frappant dès l’arrivée, un nombre gigantesque de taxis. Malgré les différences de modèles, tous ont les mêmes couleurs jaune et noir, se démarquant ainsi clairement des autres voitures. Leur nombre est très impressionnant par rapport à Paris (même si leur look y joue certainement un rôle) : on a l’impression que la moitié des voitures qui défilent sont des taxis !
Ce qui nous amène au deuxième point : les voitures défilent, oui, elles défilent même très vite ! Depuis notre arrivée, nous n’avons pas vu l’ombre d’un panneau de limitation de vitesse, ce qui explique sans doute pourquoi elles foncent comme des bolides, presque comme sur une autoroute ! Pour des Parisiens habitués à guetter le policier et le flash au premier km de trop, c’est toujours avec fascination et stupéfaction que nous contemplons la ruée de voitures dès que le feu passe au vert.
En contrepartie, il faut reconnaître qu’un feu rouge est un feu rouge. Ici, les feux brûlés sont beaucoup plus rares qu’à Paris, et le passage piéton, beaucoup plus large, se situe avant le feu rouge : toutes les voitures s’arrêtent donc un ou deux mètres avant le feu.
Les motos semblent également plus nombreuses, et plus généralement tous les deux roues : les vélos ne sont pas en reste ! Un système semblable au Vélib’ équipe Barcelone, des nuées de petits vélos rouges étant ainsi réservés aux habitants. Chez nous, leur usage est encore timide, mais ici il est beaucoup plus naturel et courant. Il faut aussi reconnaître que les pistes cyclables sont beaucoup plus sérieuses qu’à Paris…
2 comments
Gamiliot says:
avr 16, 2012
Barcelone : quelle belle ville !
Irina says:
avr 21, 2012
Remarque, le seul panneau de limitation de vitesse que j’y ai jamais vu, 70 km/h, à bord du premier taxi de notre arrivée à Barcelone, la chauffeuse ne s’est pas trop posé de questions : et hop, 80 km/h, allegro con fuoco !